Month: février 2017

Amour indéfectible

J’ai une amie qui a divorcé après que son mari l’a laissée pour une autre femme. Quelques années plus tard, je discutais avec son père et le sujet de leur mariage brisé a refait surface. « C’est quand [mot vulgaire] était encore là », a-t-il dit. « C’est comme ça que j’aime l’appeler : [mot vulgaire]. »

La mort du doute

Bien que nous le connaissions sous le nom de Thomas l’incrédule (Voir JN 20.24‑29), cette étiquette est un peu exagérée. Après tout, combien d’entre nous auraient cru que leur chef exécuté était revenu à la vie ? Autant l’appeler tout simplement « Thomas le courageux ». Après tout, il a manifesté un courage impressionnant lorsque Jésus s’est rapproché de plus en plus des événements qui allaient le conduire à son exécution.

Digne d’un roi

Un homme qu’on surnomme le « roi de la cocaïne » a construit un repaire secret sur une île, connu par les habitants du coin comme la grande maison. Celle-ci possède un vestibule en marbre et une gigantesque piscine entourée de palmiers. Sur la propriété de l’homme maintenant décédé se trouvent plusieurs résidences de luxe au bord de l’eau qui peuvent accueillir jusqu’à 300 invités. Des jardins, des bateaux et une aire d’atterrissage d’hélicoptère exposent la richesse du « roi », une richesse immense mais mal acquise.

Voyez ce qu’a fait Jésus

Le garçon n’avait que huit ans lorsqu’il a annoncé à Wally, l’ami de ses parents : « J’aime Jésus et je veux servir Dieu outre‑mer un jour. » Au cours de la dizaine d’années qui ont suivi, Wally a prié pour lui en le regardant grandir. Lorsque, devenu jeune homme, ce garçon a soumis sa candidature à une organisation missionnaire pour aller oeuvrer au Mali, Wally lui a dit : « C’est pas trop tôt ! Quand je t’ai entendu dire ce que tu voulais faire, j’ai fait un placement, que j’ai gardé pour toi, en attendant de recevoir cette nouvelle exaltante. » Wally a les gens et l’annonce de l’Évangile à coeur.

Peignez votre feuille

Dans sa nouvelle Feuille, de Niggle J. R. R. Tolkien décrit un peintre perfectionniste au grand coeur qui n’a pas pu achever le paysage qui est devenu l’oeuvre de sa vie. Niggle était un homme bon qui aidait souvent ses voisins au lieu de travailler sur ses peintures, et parce que les petits détails le tracassaient, il n’a eu le temps de peindre que la première feuille du premier arbre. Il est mort et il semble que sa vie n’a rien donné. Sa « merveilleuse feuille » a été placée dans le musée de la ville « et peu d’yeux la remarquèrent ».

Je sais tout

Notre fils et notre belle‑fille ont eu une urgence. Notre petit‑fils Cameron avait contracté une bronchopneumonie, si bien qu’il leur fallait le conduire à l’hôpital. Ils nous ont alors demandé si nous pouvions passer prendre leur fils de cinq ans, Nathan, à son école pour le ramener à la maison, ce que Marlene et moi étions heureux de faire.

Termes bannis

Chaque année, la Lake Superior State University aux États-Unis publie une liste de mots agaçants qui devraient être bannis. Au premier rang de leur liste de 2013 se trouve selfie, un terme qui a reçu plus de nominations qu’aucun autre. Twerking, hashtag et twittersphere sont d’autres termes qui ont reçu beaucoup de votes. Cette liste me rappelle que la langue est en perpétuel changement et qu’elle peut nous persuader, nous impressionner ou nous agacer.

S’appuyer sur Jésus

Le soir, je dépose parfois la tête sur l’oreiller et je prie en m’imaginant appuyé sur Jésus. Chaque fois, je me rappelle une chose que la Parole de Dieu nous dit au sujet de l’apôtre Jean, par la bouche même de ce dernier, indiquant que Jean était assis près de lui lors de la Sainte Cène : « Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus » (JN 13.23).

Le véritable repos

Durant le long et rigoureux hiver d’Alaska, les forestiers du Denali National Park patrouillent la région sauvage, vaste et enneigée accompagnés d’équipes de chiens de traîneau. Une patrouille de traîneau à chiens peut durer jusqu’à six semaines, et les chiens sont toujours prêts à partir.

L’ Avocat

Depuis sa cellule de prison floridienne, Clarence Earl Gideon a envoyé un mot en juin 1962 afin de demander à la Cour Suprême des États‑Unis de revoir sa condamnation pour un crime dont il se disait innocent. Il précisait dans ce mot qu’il n’avait pas les moyens de retenir les services d’un avocat.